Faisant référence au récent trimestriel rapport Du secrétaire général sur les défis auxquels sont confrontés la plus jeune nation du monde, Mme Pobee a souligné que depuis mars, les gains précédents dans le processus de paix ont été largement érodés.
Les offensives militaires, impliquant principalement la milice rivale du Soudan du Sud qui répond au premier vice-président et troupes gouvernementales fidèles au président, se sont poursuivies et ont confiance en 2018 Accord de paix revitalisé Entre les deux ont été sapés.
Murithi Mutiga, un autre Briefer du groupe international de crise, a expliqué que l’accord de 2018 exigeait que la présidente Salva Kiir travaille à Concord avec son rival, le premier vice-président Riek Machar; Ainsi, l’accord a été effectivement résilié lorsque le président Kiir a placé l’ancien vice-président en assignation à résidence le 26 mars.
Crise humanitaire
Mme Pobee a souligné que les récentes offensives militaires ont entraîné la mort, le déplacement et la destruction des infrastructures civiles.
En outre, la crise des déplacements est une rue à double sens, M. Murtiga a expliqué: La guerre civile dévastatrice au Soudan voisine a conduit 1,2 million de réfugiés au Soudan du Sudcontraindre les ressources déjà limitées.
Le conflit au Soudan a également perturbé les flux de pétrole vers le Soudan de Port contrôlé par le gouvernement militaire et le marché plus large, ce qui fait que le Soudan du Sud perdait la plupart de ses précieux revenus pétroliers.
M. Murtiga a également souligné qu’il s’agit de l’une des pires crises humanitaires du Soudan du Sud depuis l’indépendance en 2011, avec 9,3 millions a besoin d’une aide désastreuse et 7,7 millions Souffrant de l’insécurité alimentaire, dont 83 000 à risque de conditions catastrophiques, tout en étant brutale de violence sexuelle.
Et les coupes de financement laissent des millions sans aide à la sauvetage, a souligné Mme Pobee. Au milieu de 2025, le Besoins humanitaires et plan de réponse est seulement financé à 28,5%.
De plus, les défis de l’accès humanitaire augmentent avec des cas accrus d’attaquants des travailleurs humanitaires, car des infrastructures médiocres et des obstacles administratifs entravent les efforts de secours.
Appel à agir
L’ONU, l’Union africaine, l’organisme régional de développement intergouvernemental, IGAD, et bien d’autres dans la communauté internationale, ont appelé à plusieurs reprises à une cessation des hostilités et à un retour au dialogue sans aucune réponse concrète des parties en guerre.
Martha Ama Akyaa Pobee, secrétaire adjointe générale pour l’Afrique dans les départements des affaires politiques et de la paix et des opérations de paix, s’adresse à la réunion du Conseil de sécurité au Soudan et au Soudan du Sud.
« Alors que les représentants du gouvernement ont publiquement exprimé leur engagement envers les élections d’ici décembre 2026, les parties doivent prendre des mesures pour revenir au dialogue et prendre les décisions nécessaires pour faire avancer le pays. Les déclarations d’engagement ne suffisent pas », a souligné Mme Pobee.
Elle a exhorté le Conseil de sécurité Pour appeler tous les acteurs et parties prenantes à maintenir l’accord de paix. S’ils ne jettent pas les bases d’élections pacifiques et crédibles en décembre 2026, le risque de rechute dans la violence augmentera considérablement dans un contexte d’instabilité régionale croissante.
Il est de la responsabilité partagée de la communauté internationale de travailler avec les partis sud-soudanais pour éviter un tel échec, a-t-elle souligné. «Les habitants du Soudan du Sud comptent sur nous.»