Le texteparrainé par le Pakistan et adopté à l’unanimité, a réitéré que tous les États «régleront leurs différends internationaux par des moyens pacifiques par le dialogue, l’engagement diplomatique et la coopération de manière à ce que la paix et la sécurité internationales et la justice ne soient pas en danger.»
Il a également réitéré que les nations doivent «s’abstenir de leurs relations internationales de la menace ou de l’utilisation de la force contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, ou de toute autre manière incompatible avec les objectifs des Nations Unies».
Soulignant la nécessité d’empêcher les litiges de se produire et d’esserdier, la résolution a en outre appelé les États membres à prendre «des mesures nécessaires pour la mise en œuvre efficace de Conseil de sécurité Résolutions pour le règlement pacifique des litiges. »
Médiation et diplomatie préventive
Le texte a encouragé le Secrétaire général à s’assurer que les Nations Unies peuvent «diriger et soutenir la médiation et les efforts de diplomatie préventive», tout en continuant à déployer ses bons bureaux.
Il a également pris note «avec appréciation» du travail de l’ONU Unité de support de médiation (MSU) et a exhorté le Secrétariat à assurer la disponibilité des «experts de médiation bien formés, expérimentés, indépendants, impartiaux et géographiquement et linguistiquement diversifiés à tous les niveaux».
Le MSU est le point focal de l’ONU à l’échelle du système sur l’expertise et le soutien de la médiation, fournissant un soutien opérationnel sur mesure aux processus de paix et de dialogue à l’échelle mondiale.
Participation des femmes et des jeunes
La résolution a également souligné l’importance d’intégrer les approches inclusives du règlement pacifique des différends; Assurer la participation complète, égale et significative des femmes et la participation significative des jeunes aux efforts de prévention des conflits et de règlement des différends.
Il a également mis en évidence le rôle des organisations régionales et sous-régionales dans le complément des efforts des Nations Unies, appelant à une amélioration du partage d’informations et de la coopération.
Le conseil a en outre demandé que le Secrétaire général présente des «recommandations concrètes pour renforcer davantage les mécanismes de règlement pacifique des différends» dans un délai d’un an, parallèlement aux plans d’un débat ouvert pour examiner les progrès.