Le séance préparatoire Rassemblé les États membres de l’ONU pour aligner les attentes et finaliser les arrangements pour huit tables rondes thématiques qui aideront à façonner les résultats de la conférence.
Président de l’Assemblée générale Phillémon Yang exhorté Des pays pour saisir l’occasion cruciale pour enfin progresser.
«Les horreurs dont nous avons été témoins à Gaza depuis plus de dix-neuf mois devraient nous inciter à une action urgente pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Les cycles dévastateurs de la mort, de la destruction et du déplacement ne peuvent pas être autorisés à continuer», A-t-il dit.
«Ce conflit ne peut être résolu par la guerre permanente, ni par une occupation ou une annexion sans fin. Cela ne se terminera que lorsque les Israéliens et les Palestiniens pourront vivre côte à côte dans leur propre souverain et des États indépendants, en paix, en sécurité et en dignité», A-t-il ajouté.
Résultats du béton nécessaires
Les coprésidents de la France et de l’Arabie saoudite ont souligné la nécessité de la conférence de juin pour aller au-delà des principes de réaffirmation et obtenir des résultats concrets sur le terrain.
«Nous devons passer urgemment des mots aux actes. Nous devons passer de la fin de la guerre à Gaza à la fin du conflit lui-même», a déclaré Anne-Claire Legendre, conseillère au Moyen-Orient et en Afrique du Nord du président français Emmanuel Macron.
«Face aux faits sur le terrain, les perspectives d’un État palestinien doivent être maintenues. Des étapes irréversibles et des mesures concrètes pour sa mise en œuvre sont nécessaires.»
Parallèlement, elle a réitéré les appels à un cessez-le-feu durable, un afflux immédiat d’aide humanitaire et la libération d’otages.
Moment historique
Manal Bint Hassan Radwan, chef de l’équipe de négociation saoudienne, a appelé le moment «historique», déclarant que la réunion préparatoire doit «tracer une voie d’action, pas de réflexion».
«Les civils continuent de payer le prix d’une guerre qui doit se terminer immédiatement. L’escalade en Cisjordanie est tout aussi alarmante. Le désespoir se renforce de jour en jour», a-t-elle déclaré.
« C’est précisément pourquoi nous devons parler non seulement de mettre fin à la guerre, mais de mettre fin à un conflit qui a duré près de huit décennies », a-t-elle poursuivi, ajoutant des efforts pour mettre fin aux combats et à sécuriser la libération des otages et les détenus doit être « ancré dans un plan politique crédible et irréversible qui aborde la cause profonde du conflit et offre une véritable voie à la paix, à la dignité et à la sécurité mutuelle ». «
Document de résultat
L’Assemblée générale a décidé de convoquer la conférence dans son Résolution ES-10/24. De plus amples détails ont été décrits dans Résolution 79/81.
Comme indiqué dans la résolution de l’Assemblée générale 79/81, La conférence produira un document de résultat axé sur l’action intitulé «Règlement pacifique de la question de la Palestine et mise en œuvre de la solution à deux États».
L’objectif est de tracer une voie claire et irréversible vers une paix complète, juste et durable conformément aux résolutions de l’ONU.
À propos de la conférence
La conférence comprendra une session plénière avec des déclarations du président de l’Assemblée générale, du secrétaire général des Nations Unies et des coprésidents, suivis des interventions des États membres et des observateurs.
Selon une note conceptuelle des coprésidents, la conférence comprendra également huit tables rondes thématiques, chacune axée sur les dimensions critiques de la solution à deux états.
Les groupes de travail comprennent des accords de sécurité pour les Israéliens et les Palestiniens, la viabilité économique d’un État palestinien et l’action et la reconstruction humanitaires.