Le gouvernement de Trudeau affirme que le Canada éliminera les décès d’une chaleur extrême car elle se fixe de nouveaux objectifs pour lutter contre le changement climatique
Le gouvernement canadien a dévoilé sa nouvelle «stratégie d’adaptation nationale», rapporte la star de Toronto, qui comprend des objectifs tels que «l’élimination de tous les décès par chaleur extrême d’ici 2040 et interrompant et inversant la destruction de la nature du Canada au cours des sept prochaines années.»
Le document se poursuit: «La stratégie indique également qu’en 2026, le gouvernement fédéral élaborera de nouvelles règles pour intégrer des considérations climatiques dans les codes de construction et d’autoroute, d’ici l’année prochaine, il comprendra des facteurs de résilience climatique dans tous les nouveaux programmes d’infrastructure fédérale, produira des centaines de nouvelles cartes d’inondation à haut risque d’ici 2028 et visera à créer 15 nouveaux parcs nationaux urbains d’ici 2030.
Dans un discours à une province qui a été frappée par des inondations soudaines qui ont lancé les autoroutes, un dôme de chaleur mortel qui a tué plus de 600 personnes et un incendie de forêt qui a brûlé la ville intérieure de la Colombie-Britannique de Layton à Ashes il y a deux ans, le ministre de l’Environnement Stephen Guilbeau a déclaré qu’il ne fait aucun doute que les impacts du changement climatique se poursuivront pendant des décennies. «
Pendant ce temps, Reuters rapporte que les émissions des incendies de forêt du Canada ont atteint des sommets records «à mesure que la fumée atteint l’Europe».
Le bulletin d’actualités a ajouté: « Les incendies de forêt brûlant dans de grandes étendues de l’Est et de l’Ouest canadien ont publié un record de 160 millions de tonnes de carbone, a déclaré mardi le bureau de surveillance de l’atmosphère de Copernicus de l’UE. »
La saison des incendies de forêt de cette année est la pire de l’histoire canadienne, avec environ 76 000 km2 (29 000 mises carrés) brûlant à travers l’est et l’ouest du Canada. C’est plus que la superficie totale brûlée en 2016, 2019, 2020 et 2022, selon le Centre interiminant canadien pour les incendies de forêt. »
Par ailleurs, le Guardian rapporte que, plus au sud, «la vague de chaleur record qui a frappé certaines parties du Texas, de la Louisiane et du Mexique est devenue au moins cinq fois plus probablement en raison du changement climatique induit [from Climate Central ]marquant la dernière d’une série d’événements récents de type dôme de chaleur extrême qui ont brûlé diverses parties du monde ».
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Publié à l’origine dans The European Times.